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Nos tutelles

   

Edito

L'UMR IPME n'existe plus depuis le 31/12/2020.

Elle a fait l'objet d'une fusion avec deux autres unités pour créer l'UMR PHIM

Présentation de l'UMR IPME

Stratégie et perspectives scientifiques

L’unité « Interactions Plantes-Microorganismes-Environnement » (UMR IPME, IRD, Cirad, UM) concentre ses activités sur l’étude des interactions entre la plante et les microorganismes en tenant compte des facteurs liés à l’environnement, ainsi que sur des approches originales pour la résistance des plantes aux contraintes biotiques et abiotiques.

Une stratégie de développement durable appliquée à la défense et à l’amélioration des cultures repose sur une bonne connaissance :

  • de la diversité génétique disponible de l’hôte,
  • des mécanismes des interactions (pathogènes et mutualistes),
  • de l’aptitude des parasites à contourner une résistance,
  • de l’effet de l’environnement sur les interactions entre plante et organismes associés.

Équipes

Les six équipes qui composent l’UMR développent des études concertées sur les partenaires végétaux et les microorganismes symbiotiques et/ou pathogènes dans différents contextes de stress. Les questions de recherche prioritaires d’IPME portent sur :

  • la diversité des microorganismes associés aux plantes et sur les mécanismes qui leur sont associés lors de la colonisation/infection végétale
  • l’organisation, l’évolution et l’adaptation des génomes viraux et bactériens et sur celles des nématodes
  • les réponses et l’adaptation des plantes aux stress biotiques et abiotiques

Problématiques

L'unité s'intéresse aux problématiques relatives à l'impact de ces processus sur l'agriculture et l'environnement au Sud. Les recherches d'IPME sont réalisées sur des cultures tropicales d’intérêt agronomique, économique et nutritionnel (comme le riz, le manioc, les citrus , les légumineuses ou le café) en milieux tropicaux et méditerranéens. Elles s’articulent autour de l'émergence de nouveaux concepts et autour des moyens de prévention, des outils de lutte contre les maladies des plantes ou encore autour de l’amélioration de la résistance des plantes aux stress biotiques et abiotiques. Ces travaux ont pour objectifs de :

  • contribuer à une meilleure gestion et à une durabilité accrue des systèmes de culture
  • renforcer les actions de recherche et de formation de l'UMR grâce à la mise en place de partenariats
  • favoriser le transfert des connaissances vers le Nord comme vers le Sud

Ressources humaines

  • 48 titulaires permanents dont :
    • 34 chercheurs et enseignant-chercheurs
    • 14 ingénieurs, techniciens et administratifs
  • environ 50 personnels temporaires accueillis par an (CDD, chercheurs, post-doctorants, doctorants, stagiaires)